Safetykleen célèbre la Journée Internationale des femmes 2022

La Journée Internationale des femmes, officialisée par les Nations Unies en 1977 et célébrée tous les ans à la date du 8 mars dans de nombreux pays, est une journée de sensibilisation et de mobilisation dédiée à la lutte pour les droits des femmes, l’égalité et la justice.

Le thème de cette année, « Break the Bias » (« Briser les préjugés ») nous invite à réfléchir à un monde exempt de stéréotypes et qui tend vers l’égalité et l’inclusion dans tous les secteurs.
Chez Safetykleen France/Belgique, nous avons décidé d’interviewer 4 collaboratrices dont les postes sont souvent associés à l’univers masculin pour combattre ces préjugés.

Un enjeu de diversité pour Safetykleen

Avec seulement 30 % de femmes dans l’industrie, force est de constater que la mixité n’est pas encore au rendez-vous dans ce secteur. Cet enjeu de société qui tend vers l’égalité est également un enjeu de compétitivité : plusieurs études prouvent en effet que plus il y a de mixité au sein d’une entreprise, plus il y a de performance.

Safetykleen France / Belgique s’applique à créer une culture de plus en plus inclusive et ouverte à la diversité, un facteur fondamental pour un groupe international opérant dans 14 pays avec autant d’histoires et de cultures variées.

Depuis deux ans, nous avons pu recruter 17 collaboratrices au sein du siège et de nos agences réparties dans toute la France. Notre objectif ? Encourager les femmes à rejoindre une culture d’entreprise qui reconnaît et cultive le talent féminin, à travers notamment l’intégration et la formation continue pour les accompagner et les faire évoluer dans leur carrière.

Parlez-nous de votre métier : que faites-vous exactement ?

NZ : Mon travail chez Safetykleen, est de manager les équipes opérationnelles de Strasbourg, Metz et Dijon et de les aider à organiser leurs tournées de services chez nos clients pour optimiser leur temps de travail.
De plus, je sers d’organe de transmission entre les équipes opérationnelles, le siège et les équipes commerciales.

JC : Je suis conseillère commerciale et technique pour Safetykleen au sein de l’agence de Lyon. J’aide les entreprises à trouver des solutions internes de nettoyage de pièces et à s’améliorer en termes de sécurité et de santé au travail, de productivité et de qualité.

EK : Je suis en charge de développer des accords-cadres et des partenariats avec de grands groupes dans l’industrie et l’automotive au sein de Safetykleen. Je gère également les portefeuilles de clients actuels pour pérenniser les contrats.

SH : Je suis chimiste chez Safetykleen. Mon rôle principal est d’être un support technique pour les commerciaux ; je suis donc amenée à réaliser des tests sur les pièces et les salissures de nos clients au sein de notre Laboratoire afin de trouver la solution TACT (Temps, Action mécanique, Chimie, Température) la plus adaptée à leur problématique. Parfois, je peux être amenée à effectuer des visites clients pour appuyer le discours de nos experts du terrain. Je participe également à différents projets de Recherche & Développement et à la gestion des Fiches de Données de Sécurité de nos produits chimiques.

Pourquoi avez-vous décidé de suivre cette carrière ?

NZ : Selon moi, la vie professionnelle est faite d’opportunités. La situation de management est arrivée naturellement dans mon plan de carrière. J’étais précédemment dans le commerce de fournitures industrielles en commençant en tant que commerciale sédentaire, puis commerciale terrain et enfin chargée de clients grands comptes. Le management des équipes commerciales est arrivé comme suite logique.
Être cheffe d’agence au sein de Safetykleen me permet de rajouter une corde à mon arc en manageant cette fois-ci une nouvelle typologie d’équipe, dans l’opérationnel, et cela nécessite donc plus d’organisation et de précision.

JC : Découvrir le monde industriel m’a toujours intéressée. J’étais auparavant dans le recrutement pour l’industrie, dont certains postes pour Safetykleen, c’est ce qui m’a donné envie d’intégrer cette entreprise ! Ce qu’il y a de motivant aussi chez Safetykleen, c’est qu’il y a aussi de réelles opportunités de carrière et d’évolution.

EK : J’adore la vente et le contact avec les clients, donc ce choix de carrière me semblait être une évidence.
Selon moi, le métier de commercial s’apparente beaucoup au monde du sport dans lequel j’ai toujours baigné : le terrain, les challenges, le goût de gagner, l’esprit d’équipe. C’est ce qui me plaît aussi dans mon poste.

SH : La chimie et la science de manière générale m’ont toujours passionnée. La chimie est omniprésente dans notre vie quotidienne, c’est un secteur très vaste qui permet donc un apprentissage permanent.

Pourquoi pensez-vous que votre rôle est traditionnellement associé à l’univers masculin ?

NZ : Je ne pense pas que ce soit le poste de cheffe d’agence qui soit masculin mais plutôt le domaine d’activité dans lequel nous travaillons.
Dans l’industrie, les femmes sont moins nombreuses, en particulier dans les postes à responsabilité. Mais une fois que l’on a fait ses preuves, que l’on a gagné sa légitimité auprès des collègues et des clients, être une femme dans un univers aussi masculin peut devenir un avantage.

JC : Nous le voyons bien, les postes de commerciaux étaient tenus majoritairement par des hommes il y a encore quelques années. Quand je suis arrivée à Safetykleen il y a deux ans, j’étais la seule femme dans mon équipe. J’ai été très bien accueillie et accompagnée à l’agence de Lyon, que ce soit par les commerciaux et par les opérationnels. Et maintenant, nous sommes 4 femmes.
Dans l’industrie aussi, il y a beaucoup de postes techniques occupés par des hommes. En deux ans, je n’ai croisé que deux femmes occupant des postes techniques parmi mes clients. La mentalité doit être changée : il faut que tout le monde intègre qu’une femme a aussi la capacité d’arriver au même niveau technique qu’un homme.

EK : Dans le cadre de Safetykleen, le métier de commerciale peut sans doute être plus associé aux hommes, car d’une part, nos interlocuteurs dans le milieu ciblé (Industrie…) sont majoritairement des hommes, mais aussi d’autre part, il implique une manutention de nos machines de nettoyage qui n’est pas adaptée aux femmes. Mais, grâce à l’aide de nos délégués de service, nous sommes bien accompagnés dans l’installation des machines.
Certains de nos interlocuteurs femmes que l’on rencontre le plus dans ce milieu industriel occupent en général des postes de responsables HSE (Hygiène, Sécurité, Environnement) ou responsable Achats. De plus en plus, certaines femmes commencent à prendre des responsabilités dans des postes dans la production et la maintenance mais ceci reste exceptionnel.

SH : Le métier de chimiste n’est pas forcément associé à l’univers masculin mais dans le domaine industriel, le fait de travailler sur des gros volumes ou de devoir porter des charges lourdes pourrait parfois l’associer à un poste « masculin ».

Pourquoi est-il important pour vous de célébrer la Journée internationale des femmes ?

NZ : C’est important car, si nous avons acquis l’égalité des droits pour les femmes dans les pays occidentaux, il reste des combats à mener pour qu’elle devienne plus naturelle et que le type de position que j’occupe aujourd’hui soit plus courant pour les femmes jusqu’à obtenir la parité. J’invite donc toutes les femmes qui le souhaitent à ne pas hésiter à se lancer dans une carrière dont elles ont envie.

JC : Il est important de la célébrer tant qu’on ne sera pas arrivé à l’égalité, et ce, dans tous les secteurs. Mais j’espère qu’un jour, elle n’aura plus lieu d’être parce qu’on aura trouvé un équilibre, et pourquoi pas, une parité hommes / femmes dans le monde de l’industrie.

EK : C’est important de célébrer cette journée parce que la femme d’aujourd’hui est sur tous les fronts : elle est mère, elle est épouse et elle a une carrière.
Elle a su s’imposer et prouver qu’elle a toutes les capacités pour réussir dans des postes avec autant de responsabilités qu’un homme.
Il faut donc oublier les préjugés car à travers sa réussite et son investissement dans le monde professionnel, elle a prouvé qu’elle a les compétences nécessaires pour avoir les mêmes ambitions et une carrière aussi importante qu’un homme.

SH : Le chemin des femmes a été long pour acquérir leurs droits, même les plus basiques comme le droit de vote ou le droit de travailler. Il est donc important de garder cette journée pour célébrer notre indépendance.

#IWD #breakthebias