P&R Finishing Ltd est une entreprise familiale spécialisée dans le revêtement de peinture professionnel. Située au nord-ouest de Londres, elle offre depuis plus de quatre décennies des services de préparation, grenaillage et revêtement de surfaces à des commerçants et clients privés.
Il s’agit également d’une entreprise très préoccupée par les questions d’éthique et de durabilité, comme l’explique Kevin Jerome, Directeur Général de P&R Finishing :
Nous tenons à nos collaborateurs, nous tenons à l’environnement, nous tenons à nos clients, et également à la qualité du service que nous offrons. Nous voulons limiter autant que possible l’utilisation de produits chimiques potentiellement dangereux, tout comme le temps passé par nos opérateurs à les utiliser. Dans ce type d’industrie, nous ne pouvons pas écarter tous les dangers. Mais en les réduisant au maximum, nous assurons la sécurité de nos équipes.
Contrairement aux procédés de revêtement avec des peintures liquides, le revêtement en poudre est réalisé à sec avec des poudres colorées à base de résines synthétiques (comme par exemple les poudres époxy).
En l’absence d’eau ou de solvants qui permettent une répartition uniforme de la couleur, l’adhérence de la poudre à la surface à peindre se fait par effet électrostatique, qui permet un revêtement homogène. L’objet à peindre subit donc un processus de « cuisson » au cours duquel la poudre fond et polymérise, formant – une fois refroidie – une couche adhérente, épaisse et résistante.
Pour obtenir une finition de qualité, une grande attention doit être accordée à la préparation de la surface, en procédant à l’élimination totale des huiles et graisses ou des traces de peinture sèche des processus précédents.
Traditionnellement, cette activité de préparation est réalisée par grenaillage ou sablage, procédés par lesquels la surface de la pièce est traitée par abrasion par un jet de matière abrasive (granulés abrasifs ou sable) mélangé à de l’air/eau sous pression, mais aussi par voie chimique.
Ayant déjà investi dans les dernières technologies de revêtement de peinture, P&R Finishing recherchait une solution plus efficace et plus durable pour décaper les composants sur lesquels ils travaillent.
Et avec environ 25 000 composants qui passent à l’atelier chaque semaine, il était essentiel que cette nouvelle solution puisse fonctionner en continu et à grande échelle.
La KleenStrip, machine automatique et polyvalente proposée par Safetykleen, était idéale. Le flux continu de solution décapante assure une élimination efficace et homogène de la peinture séchée. La solution Safestrip offre une alternative non dangereuse aux bains d’acide traditionnels et autres produits corrosifs, mais est également dotée d’un filtre à air qui réduit les émissions et limite l’exposition des opérateurs à ces dernières lorsque la machine s’ouvre à la fin du cycle.
Depuis son installation, la KleenStrip de P&R fait partie intégrante de son processus :
« Nous utilisons le bac de décapage beaucoup plus souvent que ce que nous avions prévu » explique Kevin. « Nous plaçons dans la machine pratiquement tout ce qui a été souillé par de la peinture, sans se poser de question. C’est comme si nous avions 1,5 personne de plus dans l’atelier, tout en réduisant considérablement la main d’œuvre nécessaire. »
Concrètement, grâce à l’analyse précise réalisée par Kevin avant la sélection de la machine, passer à la KleenStrip a conduit à :
« Alors qu’auparavant, nous en utilisions près d’une demi-tonne en trois mois, nous en consommons désormais la même quantité en huit à neuf mois » nous dit Kevin.
Le partenariat entre P&R et Safetykleen a été un tel succès que l’entreprise a également installé une Sonickleen, machine à ultrasons capable d’éliminer le liquide de coupe et autres salissures des composants avant la phase de revêtement. Elle pourra nettoyer tous les composants, placés en vrac dans la machine, en seulement trois heures. Une phase qui autrefois nécessitait l’intervention de deux opérateurs pour deux jours de travail. La Sonickleen permettra également de supprimer le recours au bain de trichloroéthylène qui était auparavant au cœur de ce processus.
Je me suis assis et j’ai fait des calculs pour savoir exactement ce que cette solution me ferait gagner… En additionnant tout cela, je me suis rendu compte qu’on ne pouvait vraiment pas trouver plus rentable. Obtenir cette qualité tout en faisant des économies… nous n’avons pas hésité.
Kevin Jerome, Directeur Général